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 Pas près d'être couché ! [PV : Marlène E. Lawrence]

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Arthur Rosenbach

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MessageSujet: Pas près d'être couché ! [PV : Marlène E. Lawrence]   Pas près d'être couché ! [PV : Marlène E. Lawrence] EmptyVen 27 Juin - 0:31

La curiosité de Marlène avait sûrement du être titillé, évidemment. On ne commence pas à parler de chose personnelle puis on s’arrête en plein milieu. Mais il ne voulait pas partager son histoire, pas spécialement avec elle, avec tout le monde. Sa situation de bâtard était beaucoup moins connu que celle de Marlène, seulement parmi les redoublants à vrai dire et ceux qui se sont un peu trop mêlés de ses affaires. Mais d’après les réponses qu’il avait eu de Marlène, il n’aura probablement pas plus de soucis que ça, elle ne comptait pas parler ou le mêler à son histoire, ainsi il n’avait pas à le faire.

Il fut assez surpris de la réaction de Marlène lorsque son ventre émit un bruit plaintif. Oh, donc elle est surtout du genre introverti mais tout de même assez expressive. En dehors des larmes. C’était une pensée qui le rassura. Si elle n’est pas du genre à aller vers les autres toute souriante et charmante, elle ne sera pas entouré de personne totalement inutile qui risquerai de se mettre en travers de son chemin. Il était donc plus ou moins sûr d’avoir une certaine … exclusivité sur elle.
Pour réponse, il se contenta de lui sourire et de se lever du banc.

– Permettez-moi donc de vous accompagner jusqu’à votre bâtiment.

Il n’attendit pas spécialement de réponse. Il se mit simplement en marche, vérifiant évidemment qu’elle était bien derrière à le suivre. Ce serait embêtant qu’elle se perde. Le chemin jusque le réfectoire fut silencieux. Arthur était plongé dans ses réflexions pour savoir ce qu’il pouvait bien préparé à la jeune noble, il ne doutait pas trouver tout ce dont il avait besoin au réfectoire, mais plutôt il se demandait si elle mangeait de tout.
Arrivant à l’entrée du bâtiment, il lui ouvrit bien évidemment la porte et la laissa entrer en premier.

– Excusez-moi, est-ce qu’il a des aliments que vous détestez par-dessus tout ?

Il ne s’était pas tourné vers elle pour lui poser la question, c’était l’occasion de joindre l’utile au bonne manière : lancer une discussion tout en récupérant des informations.
Il la conduisit au premier étage, là où se trouvait le réfectoire.

– Nous arrivons au réfectoire, si vous le souhaitez je pourrais vous faire visiter le reste de votre bâtiment si vous finissez de manger avant le couvre-feu.

Une fois encore, il lui ouvrit la porte et la laissa entrer.

– Malheureusement, comme je dois vous préparer le plat, vous allez devoir attendre un petit moment. Je vous demanderai juste de ne pas quitter le réfectoire.

Il la guida vers des tables situés au plus proche de la cuisine.

– Je vous laisse vous installer ici, les cuisines sont très proches donc je pourrais vous entendre si vous m’appelez. Je peux vous apporter un rafraîchissement avant de commencer si vous voulez ?

L’idée de cuisiner avait étrangement fait partir la fatigue de son corps et de son esprit. Ce n’était pas une activité désagréable et même les cours étaient plutôt sympathique. Il allait pouvoir grignoter lui aussi un petit peu avant de pouvoir retourner dans son propre bâtiment et se faire un plat rapide voire un plat à réchauffer. Mais au moins, l’envie que cette journée se finisse rapidement l’avait quitté. Pour le moment.


Dernière édition par Arthur Rosenbach le Mar 1 Juil - 20:22, édité 1 fois
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Marlène E. Lawrence

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MessageSujet: Re: Pas près d'être couché ! [PV : Marlène E. Lawrence]   Pas près d'être couché ! [PV : Marlène E. Lawrence] EmptyMar 1 Juil - 20:15

– Permettez-moi donc de vous accompagner jusqu’à votre bâtiment.

Arthur avait décidé d'emmener Marlène au Réféctoire des Nobles pour lui concocter un petit quelque chose ; elle qui n'avait pas manger depuis son arrivée ici, c'est à dire, depuis 16 petites heures environ, son estomac à de quoi se plaindre.

Le majordome lui fit en même temps, une visite guidée du bâtiment des Nobles nommé Dreamers. Les élèves ont t-ils tous des rêves à accomplir au sein de cette académie? Ou est-ce juste une échappatoire familiale? Tout le monde doit avoir ses raisons d'être ici.

Le grand hall du bâtiment était magnifique, au plafond était suspendu de grands lustres, et à vu de nez, le bâtiment était très bien entretenu, aucune toile d'araignées. Trois portes qui devaient mené à des endroits divers de l'Académie était ornementé de motifs anciens dirait-on.

Cette académie devait avoir un certain âge, car Marlène ne connaissait pas du tout ces motifs, et pourtant, elle en connait pas mal. A ses heures perdues, elle étudiait tous les blasons de la riche noblesse.

Elle monta le long tapis rouge qui ornait l'escalier du 1er étage. Marlène se sentait pas vraiment à l'aise, ce bâtiment est un un peu trop imposant, et pour une bâtarde, vivre dans un endroit pareil est un mal-être constant.
Arthur l'interrompu dans sa réflexion et sa contemplation de l'académie.

– Excusez-moi, est-ce qu’il a des aliments que vous détestez par-dessus tout ?

Marlène s'arrêta sur l'escalier, et cherchait dans un coin de sa tête quels aliments elle ne pouvait absolument pas supporter. Elle inclina la tête sur le coté, pensive.

* Les petits pois... ça c'est évident! Et les carottes.. puis oh, les betteraves.. *

- Les petits pois... les carottes, et les betteraves.. je pense, que c'est tout. Je ne mange pas tellement.

Heureusement qu'Arthur ne s'était pas retourné en lui posant la question, car elle était devenue rouge pivoine. Parlé de ses gouts alimentaires était très gênant pour elle, surtout avec un garçon.

Quand ils arrivèrent au premier étage, Marlène regardait tout autour d'elle, l'élégance des couloirs ne lui avait pas échappé, le sol n'était pas recouvert de tapis rouge comme l'escalier, il n'y avait rien au sol. Le premier étage, était fait tout en bois, ou si c'était une imitation elle était très bien faite. Le couloir inspirait la fraîcheur et le respect. Des tableaux des différents Directeur sont affichés sur les murs, le Bureau du Directeur ne doit pas être bien loin.

Arthur se dirigea vers le réfectoire, porte tout à fait normale. Une pancarte indiquait qu'on était bien au réfectoire du bâtiment des Nobles.

– Nous arrivons au réfectoire, si vous le souhaitez je pourrais vous faire visiter le reste de votre bâtiment si vous finissez de manger avant le couvre-feu.

* Le couvre-feu est à 21 heures, je pense pouvoir y arriver.. *

Il lui ouvrit la porte.

– Malheureusement, comme je dois vous préparer le plat, vous allez devoir attendre un petit moment. Je vous demanderai juste de ne pas quitter le réfectoire.

Arthur la guida à une table près des fenêtres, on pouvait apercevoir une partie du Parc, là où ils s'étaient rencontrés.

– Je vous laisse vous installer ici, les cuisines sont très proches donc je pourrais vous entendre si vous m’appelez. Je peux vous apporter un rafraîchissement avant de commencer si vous voulez ?

- Une petite Citronnade, ne me déplairait pas. Si cela ne vous dérange pas.

Arthur s'inclina devant Marlène et disparu dans les cuisines.

Pendant ce temps, elle contempla l'architecture de la salle de réfectoire, elle s'attendait à voir des fauteuils de grande marques, et des tables de verre mais rien de ça n'était dans cette pièce. Les tables étaient normales, recouverte de nappes en dentelles.

Des compositions florales agrémentaient les tables, et les chaises étaient en bois, recouvertes d'une couche de cuir pour ne pas se faire mal en s'installant.

Marlène se sentait un peu seule dans une si grande pièce, elle observait les étudiants se promenant dans le Parc, le soleil commençait à peine à se coucher. Sa première journée au sein de l'académie allait toucher à sa fin.

Elle se leva et se dirigea vers les cuisines, elle se cachait derrière le mur et regardait où Arthur avait bien pu passer. Les cuisines n'avaient pas l'air si grande que ça, mais elle était dans un état impeccable.

Marlène entendit des bruits venant du fond de la cuisine, elle s'approcha doucement et aperçut Arthur en train de préparer sa Citronnade et une petite entrée pour patienter.

Elle voulut retourner dans le réfectoire mais trébucha sur ses pieds, elle renversa avec elle quelques verres qui étaient posés sur le comptoir.

Le bruit des verres fut fracassant, et s'en plus attendre Arthur arriva derrière elle.

Marlène se releva bien vite, et s'inclina tête baissée devant Arthur.

- Je suis désolé ! Je ne voulais pas vous déranger en pleine préparation.. c'est juste que..

Elle sentit des petits picotements au niveau de ses mains et ses genoux.

- Aïe..

Marlène avait dû tomber sur du verre en trébuchant, car des gouttes de sang se mettaient à couler sur le sol des cuisines.
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MessageSujet: Re: Pas près d'être couché ! [PV : Marlène E. Lawrence]   Pas près d'être couché ! [PV : Marlène E. Lawrence] EmptyLun 7 Juil - 17:01

Une citronnade. Original, vu l’heure. Il alla donc à la cuisine et s’équipa du nécessaire. Mais sachant qu’une boisson n'apaisera pas la faim de la noble avec juste une citronnade, Arthur se lança aussi dans la préparation d’une entrée. Tout se passait bien, il entendait vaguement des bruits de pas, sans réaliser qu’ils s’approchaient de plus en plus.
La réalisation d’une présence dans la cuisine fut abrupte et soudaine. Bruyante aussi. Il s’entendit remercier au moins 3 fois son professeur de cuisine pour lui avoir inculquer les bons réflexes pour éviter de se blesser en cuisine.
Il comprit vite que la source de ce ramdam n’avait pu être que Marlène, le faisant se dépêcher de la rejoindre. Un juron lui resta en travers de la gorge, cette soirée s’annonçait pourtant bien. Tout laissait à croire qu’il allait pouvoir rejoindre sa chambre au moins avant 21h !
Gardant au mieux son calme, il attrapa Marlène par les dessous de bras et la souleva, finissant par la porter telle une princesse vers le côté réfectoire et finit par l’asseoir sur une chaise.

– Ne bougez plus.

Le ton avait probablement était un peu plus sec qu’il ne l’avait voulu, mais c’était trop tard pour se reprendre.
Il s’éloigna d’elle, se rendant à l’armoire à soin présente dans la cuisine, le Directeur avait eu une bonne idée en installant ça dans la cuisine même. Il prit une des trousses de soin à disposition et retourna près de Marlène.

– Mademoiselle Lawrence, je vais commencer par vos genoux donc ne voyez rien de déplacer dans mes gestes s’il-vous-plaît.

Ceci dit, il s’agenouilla devant elle, la trousse posée à quelques centimètres de lui, et lui fit remonter la robe de Marlène jusque sur ses cuisses, histoire de bien dégager ses genoux sans tissu sur le chemin. Il observa avant, s’assurant de ne pas voir de morceaux de verre, puis il commença par nettoyer les coupures et égratignures provoquées par le verre. Une fois le tout bandé, il remit la robe en place, vérifiant si elle n’était pas abîmée.

– Je viendrai récupérer votre robe demain, il va falloir la nettoyer, probablement la recoudre à certains endroits. Il fait un peu trop sombre pour le dire.

Il s’occupa ensuite de ses mains, appliquant le même traitement sur les blessures.
Pour son premier jour à avoir sa propre noble, Arthur avait réussi à la laisser se blesser et abîmer ses effets personnels. Et ça ne fait même pas quelques heures … Il dut se retenir de soupirer, il ne s’inquiétait pas des retours de la famille ou même du Directeur, c’était un échec en tant que majordome et ça ne l’aidait pas à apaiser ses nerfs endoloris par cette journée d’accueil et ce manque de sommeil.
Il relâcha ses mains, rangea le matériel et se releva.

– Je vous apporte la citronnade et votre entrée tout de suite.

Il retourna à la cuisine, remettant la trousse à sa place et, après s’être lavé les mains, alla finir l’entrée. Une fois terminée, il l’apporta à Marlène avec la citronnade et posa le tout sur la table là où il avait installé Marlène.

– J’espère que ça sera à votre goût, j’essaye de vous préparer le plus rapidement possible votre repas.

A nouveau, il refit route vers la cuisine. Mais avant d’entamer quoi que ce soit, il ramassa tous les bouts de verre et nettoya le sol. Heureusement que tous les verres n’étaient pas tombés … D’ailleurs pour éviter une autre catastrophe, il réarrangea les verres, profitant de l’espace qui avait été crée. Une fois assuré que rien ne pourrait plus le perturber, il s’attela à la tâche de préparer un repas. Bien-sûr, il prépara quelque chose de rapide, il ne pouvait pas profiter pleinement de la cuisine à cause de l’heure et du manque d’ingrédients mais surtout que Marlène avait faim. Puis il avait remarqué la présence de dessert de fruits, ce qui fera un simple mais parfait dessert une fois qu’il s’en sera occupé.

Bref, quand il eut fini, il apporta le plat à Marlène.

– Voilà, pardon pour l’attente et la simplicité du plat mais je vais aussi vous préparer un dessert.

Il partit une nouvelle fois pour la cuisine, entamant la préparation du dessert. Une fois qu’il l’eut fini, il apporta à table, mais sans le poser directement près de Marlène.
Il n’attendait pas particulièrement de réaction de sa part, ni de compliments ou de critiques, juste qu’elle finisse l’assiette et si l’envie lui chante, le dessert. Ce n’est pas qu’il n’était pas intéressé, il fallait qu’il apprenne à la servir selon ses désirs pour ça, rien de mieux qu’entendre son avis. Mais ce soir, il ne retiendrait probablement que la moitié ou il trouverait ça encore plus fatiguant de l’entendre débattre sur de la nourriture.
De la nourriture bon sang … Enfin, il en a croisé un qui lui aurait beaucoup moins agréable à servir. Un frisson lui parcouru le dos.
Dans un sens, il était ravi d’avoir été assigné à Marlène, ça lui évitait la tâche pénible de s’occuper des autres nobles.
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MessageSujet: Re: Pas près d'être couché ! [PV : Marlène E. Lawrence]   Pas près d'être couché ! [PV : Marlène E. Lawrence] EmptyMer 9 Juil - 12:08

Marlène fut porté telle une princesse dans les bras de son prince. Arthur la posa sur une chaise du réfectoire et avait l'air visiblement soit énervé, soit inquiet pour la jeune fille.

– Ne bougez plus.

Ce n'est pas comme si elle allait pouvoir faire grand chose, ses genoux commençait à picoter sévèrement, et elle essayait de souffler sur ses mains pour retirer les bouts de verre encore incrustés dans sa peau.

* Je suis vraiment maladroite..*

Le majordome réapparut, une trousse de soin à la main.

– Mademoiselle Lawrence, je vais commencer par vos genoux donc ne voyez rien de déplacer dans mes gestes s’il-vous-plaît.

Il commença à remonter la robe de Marlène jusqu'à ses cuisses, elle était un peu gênée, mais sans pour autant le montrer. Elle avait appris à cacher ses émotions. Mais en ce moment même, elle était bien gênée. L'antiseptique picotait un peu, mais elle essayait de bouger le moins possible pour faciliter le travail du majordome.

Arthur commençait à observer la robe de Marlène.

– Je viendrai récupérer votre robe demain, il va falloir la nettoyer, probablement la recoudre à certains endroits. Il fait un peu trop sombre pour le dire.

Pourquoi voulait-il absolument laver et recoudre cette robe? Marlène pouvait très bien le faire toute seule comme elle le faisait si bien avant. Elle n'avait pas besoin d'autant d'attention. Surtout qu'elle ne le méritait pas vraiment, au vu de ce qu'elle engendre comme catastrophe dès qu'elle est avec Arthur.

- Ne vous inquiétez pas, je peux me débrouiller seule. Vous n'avez pas besoin de faire ça . Lui répondait t-elle pendant que le concerné lui bandaient les mains.

– Je vous apporte la citronnade et votre entrée tout de suite.

Le majordome n'avait même pas daigné répondre à la jeune fille, peut être ne l'avait t-il tout simplement pas écouter. Il avait l'air vraiment énervé. Il se leva et s'en alla en cuisine, la trousse de soin à la main.

*C'est encore de ma faute.. il va se faire gronder par ma faute.. *

Marlène soupira, sa première journée se passait déjà mal, et cette histoire fera sûrement le tour de l'académie, de quoi l'angoisser encore plus.

Elle eut à peine le temps de regarder par la fenêtre qu'une assiette apparut devant ses yeux.  Et le majordome disparu à nouveau dans les cuisines.

La jeune noble observait l'entrée préparé par Arthur. Rien de bien sophistiquée, comme elle préfère. Simple mais sûrement bon au goût. Il lui avait préparé une petite salade de pommes de terres avec quelques feuilles de salade.

Mais à peine eut elle le temps d'essayer de prendre ses couverts, que le plat arrivait et le dessert suivit de peu.

Décidément, il aimait les aller-retour en cuisine. Était-il si pressé que ça de quitter Marlène? Enfin, elle le comprenait. Devoir servir une bâtarde ne devait pas être de tout repos.


– Voilà, pardon pour l’attente et la simplicité du plat mais je vais aussi vous préparer un dessert.

Le majordome restait debout à coté de la jeune fille, comme s'il attendait qu'elle commence à manger ses plats. Marlène était on ne peut gênée par cette attitude et lui fit bien comprendre.

- Je vous remercie pour tout ces plats, mais je ne peux pas manger tout ça toute seule.. surtout avec des mains bandées comme ça.

Elle leva ses mains au dessus la table et les montraient à Arthur, il les avaient bien soignées, c'était évident. Mais peut être que les bandages étaient un peu trop serrés pour pouvoir bouger les doigts ?

Le majordome posa le dessert près des autres plats préparés avec grand soin, et s'installa en face de la jeune fille. Il avait l'air un peu gêné d'être là.

- Mangez donc un petit peu, la journée à dû être longue et je doute que vous ayez pu manger convenablement lui disait Marlène.

Elle saisie difficilement ses couverts et essaya de manger, sans grand succès. La jeune noble regardait par la fenêtre, le soleil commençait déjà à se coucher, il se cachait déjà derrière les arbres du Parc. La nuit allait tomber, et il était encore en train de manger au réfectoire.

* Le couvre feu est à 21 heures je crois.. *

Marlène regardait sa montre, mais elle n'était plus à son poignée. Elle commençait à paniquer, elle l'avait encore il y a quelques minutes. Ses mains commencèrent à trembler. (HRP/ sous les bandages oui! /HRP).

Cette montre était un cadeau de Yoru, et elle appartenait autrefois à sa défunte mère.

- Je..je.. m'excuse bégeayait t-elle mais.. ma montre..aurais-tu vu... ma montre?! s'exclama t-elle en oubliant de le vouvoyer.

Elle se leva difficilement de table, et commençait à chercher sur le sol, ses genoux bandés et la lumière du jour qui disparaissait peu à peu ne l'aidait pas tellement.

La nuit allait tomber, et ils allaient se retrouver dans le noir absolu.

- Comment vais-je faire? Si je ne la retrouve pas ! Yoru sera déçu ! s'écria t-elle paniqué.

Elle restait là à contempler le sol, perdue dans ses pensées, elle regardait Arthur, ne sachant plus quoi faire.
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MessageSujet: Re: Pas près d'être couché ! [PV : Marlène E. Lawrence]   Pas près d'être couché ! [PV : Marlène E. Lawrence] EmptyDim 20 Juil - 23:34

Arthur était assez tiraillé par l’offre de Marlène, certes, la faim était là, mais il s’agissait d’un plat qu’il avait préparé pour elle. Il ne se voyait pas manger dans le même plat qu’une noble pour tellement de raisons qu’il allait finir avec un sérieux mal de crâne à trop y penser. Mais il ne pouvait pas faire celui qui n’avait rien entendu ou rien compris, il était de question de passer pour un idiot. Il s’était donc contenter de s’asseoir face à elle.

Il n’était pas idiot, certes, mais il se demandait ce qu’il attendait vraiment de lui pour le coup. Elle lui avait fait comprendre que la quantité était peut-être un peu trop importante, mais elle avait aussi souligné le fait que ses mains étaient bandées. Donc ? Il devait lui donner la becter ? Non non, il ne voyait personne, encore moins une noble, se rabaisser à recevoir la becter jusque pour quelques égratignures.
Elle tenta par elle-même de manger, sans franc succès et cela donnait une scène assez étrange à regarder.

* J’ai peut-être … un peu abusé sur les bandages ? *

Après tout, certes, on leur apprenait les premiers gestes de soins basiques et facile à faire avec le minimum de matériel, mais il n’était pas médecin ou infirmier donc il ne pouvait pas non plus dire qu’il avait tout bien fait.
Il sentait un malaise désagréable qui commençait à s’installer en lui et c’était franchement pas ce dont il avait besoin là tout de suite !
La panique le quitta presque immédiatement face au spectacle qui avait lieu devant ses yeux. Quand tout se mit correctement en place dans sa tête, il lui fallu détourner le regard et se mordre la lèvre assez violemment pour ne pas rire.
Marlène n’était pas la seule cause de cette soudaine envie de rire, c’était probablement aussi dû à la fatigue. Mais l’un dans l’autre, il ne pouvait pas se permettre de rire devant elle.

– Attendez un peu.

Il se leva et se dirigea vers là, sans de mouvement brusque, il se saisit de son poignet sur lequel se situe la montre et défie le bandage afin de lui montrer.

– Elle est juste ici, elle n’a jamais quitté votre poignet. Je suis désolé, ma façon de bander vos plaies a causé un sacré élan de panique.

Arthur regarda aussi la montre, même si la luminosité de la pièce l’empêchait de voir les détails, il pouvait au moins voir sa forme et plus ou moins la couleur. Yoru. Ce nom lui disait quelque chose, il l’avait déjà lu et entendu. Il continua de fixer la montre, cherchant dans ses souvenirs. Heureusement, il ne lui fallut pas tellement de temps pour s’en souvenir et il libéra le poignet de Marlène après avoir remis le bandage de sorte à ce qu’il ne cache pas la montre cette fois.
Yoru, c’est le prénom du père de Marlène.
Enfin, il ne pouvait rien dire. Lui ne se ferait même pas la peine de mentionner son père biologique. Ni son père. Et de toute façon, cela n’avait rien à voir avec son travail de majordome. S'immiscer dans la vie de famille de Marlène supposerait de créer un lien de sympathie.

– Je pense que la fatigue vous joue des tours, je peux débarrasser la table et vous amener à votre chambre si vous le désirez ?

Il s’approcha de la table mais s’arrêta en attrapant la première assiette. Il se souvenait que Marlène lui avait proposé de manger, certes manger le plat d’un noble ne l’enchantait guère, en temps que majordome, mais gaspiller toutes cette nourriture lui faisait mal au coeur. Seulement, il ne pouvait pas demander à Marlène d’attendre ici pendant qu’il se remplissait l’estomac. Il pouvait aussi mettre tout ça au frigo, mais il savait que tout serait jeté au lendemain. Il pouvait peut-être essayé de l’emmener … ?

– Oh, à moins que vous souhaitez tout de même visitez le bâtiment ?

Il relâcha l’assiette et se tourna face à Marlène. Il ne voulait pas qu’elle se préoccupe de lui, ce n’est pas comme ça que les choses fonctionnent après tout. Qu’elle soit égoïste si elle veut l’être, qu’elle soit exigeante, tant qu’elle ne se préoccupait de lui pas plus que comme d’un meuble tout lui allait.
Malheureusement pour lui, Marlène était tout l’opposé de ce cher noble qu’il avait rencontré pendant la cérémonie d’ouverture.
En y pensant, cela pour être intéressant de faire en sorte qu’elle évolue comme quelqu’un de plus … fort.


{THE END}
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